Je pensais en avoir fini avec la livre... il n'en est rien. Mon éditeur m'a renvoyé le premier chapitre annoté et corrigé, et quand j'ai ouvert le document j'ai failli mourir d'un infarctus. Il y a encore beaucoup de choses à modifier, éclaircir et préciser. Cela représente beaucoup plus de travail que je ne pensais. J'ai jusqu'à début janvier, cela veut dire un agenda rempli d'ici là au millimètre pour arriver à tout corriger dans les temps. Je ne panique pas encore, mais ce n'est pas le moment de me donner du travail en plus ou exiger que je sois vraiment social...
Pour essayer de travailler sérieusement, j'ai bravé le froid et je suis allé vendredi après-midi en vélo à la toute nouvelle bibliothèque publique près de la gare centrale, ordinateur dans un sac à dos et carnets de notes dans les poches. Un endroit magnifique (voir les photos ci-dessous prises rapidos avec mon téléphone). Mais je n'ai pas réussi à me connecter sur internet: malgré les dizaines de Mac en libre accès, le wifi est réservé aux PC portables équipés de Windows™. Un véritable scandale. Et c'est à peine s'il ne m'a pas fallu un certificat de virginité, un mot de mon dentiste et un passeport bien tamponné pour apprendre ça. Pourquoi ne pas laisser un accès wifi ouvert et basta, hein?
Il va falloir que je trouve un autre endroit pour travailler: je me lasse déjà de mon bureau à la maison et du café près de chez moi. Au Café de Punt tout comme chez le suédois, il n'y a pas de wifi. C'est dommage, mais il m'est impossible de travailler sérieusement sans internet, reprendre les références à la maison me prend plus de temps que de tout faire à la volée.
