Ce soir je vais parler avec mes collègues de la section australovicienne du parti travailliste (donc pas les élus, mais les membres du parti) pour leur vanter les mérites de la diversification des membres. Et voilà que je tombe sur cette niouze: la Silicon Valley doit une grande partie de sa dynamique aux migrants. Je cite:
L’évolution de Silicon Valley: le rôle des immigrants. Ils continuent à venir et y jouent un rôle croissant, notamment dans la reprise des affaires. 55% des emplois scientifiques et technologiques sont occupés par des gens nés à l’étranger. 48% de la population parle une autre langue que l’anglais à la maison. La Silicon Valley s’internationalise à un rythme accéléré.
“America’s New Immigrant Entrepreneurs “, une étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Duke et de L’Université de Californie-Berkeley et publiée le 4 janvier montre que 52% des start-ups de la Silicon Valley comptent au moins un immigrant parmi ses fondateurs importants (25% au niveau national).
Ca tombe plutôt bien par rapport à ce que je vais dire, non?