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Cela m'excite beaucoup, mais me stresse à la fois. C'est beaucoup de plaisir avec l'écriture, la recherche, les rencontres que cela occasionne, mais aussi beaucoup de travail, de stress, de doutes, de nuits sans sommeil et de tonnes de chocolat.
L'histoire, c'est que Didier Lestrade (fondateur d'Act Up) avait travaillé avec Grégory sur ses deux derniers bouquins (Kinsey 6 et The end) et lui avait parlé de mon travail. J'ai entretemps essayé de placer l'idée ailleurs, avec l'aide de Jean-Baptiste Gugès (chez Dunod), mais ça n'a rien donné. Surviennent les émeutes en France et une traduction de mon affreuse interview dans le Volkskrant en français dans le Courrier international, et voilà que Grégory me contacte. La suite reste à écrire (littéralement)...